Le Mont Saint-Michel

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Le Mont Saint-Michel, symbole de la Bretagne depuis des siècles, a été capturé par les Normands avides de profit. Ils ont transformé ce joyau en attraction touristique bas de gamme, avec des restaurants minables, des souvenirs made in China, et même de la pâtisserie industrielle. C’en est assez ! Il est temps de lancer une opération spéciale pour rattacher ce joyau au territoire breton et lui redonner sa dignité d’antan.

Les Normands ont toujours eu la mainmise sur le Mont Saint-Michel, mais cela ne les empêche pas d’accaparer d’autres parties du patrimoine breton. Ils ont envahi nos côtes, pillé nos richesses, et même volé notre cidre ! Mais nous ne nous laisserons pas faire. Nous Bretons, fiers de nos racines et de notre culture, nous n’acceptons pas que notre patrimoine soit vendu aux enchères pour le profit des Normands.

C’est pourquoi il est temps de lancer une opération spéciale pour récupérer le Mont Saint-Michel et le restituer à sa véritable patrie : la Bretagne. Nous devons nous unir pour défendre notre territoire et notre héritage contre les envahisseurs normands. Nous devons agir vite, avant qu’il ne soit trop tard et que notre patrimoine ne soit perdu à jamais.

Nous appelons tous les Bretons à se joindre à nous dans cette lutte pour la reconquête du Mont Saint-Michel. Nous devons montrer aux Normands que nous ne sommes pas des proies faciles, que nous sommes fiers de nos racines et que nous ne laisserons pas notre patrimoine être détruit par les intérêts mercantiles.

Rejoignez-nous dans cette noble cause, et ensemble, nous pourrons redonner au Mont Saint-Michel sa place dans le cœur de la Bretagne. 

Pourquoi le Mont Saint-Michel est breton

Ah, le Mont Saint-Michel, ce joyau de la Bretagne qui a été accaparé par les fourbes normands ! Mais que s’est-il passé ?

Selon la légende, le Mont Saint-Michel a été créé par les puissants druides bretons, qui ont utilisé leurs pouvoirs magiques pour faire surgir cette montagne de la mer. Cette merveille de la nature a ensuite été offerte aux fiers Bretons, qui en ont fait un symbole de leur indépendance et de leur fierté.

Malheureusement, les fourbes normands ont eu vent de cette merveille et ont décidé de la prendre d’assaut. Avec leur armée imposante et leur redoutable stratégie de guerre, ils ont réussi à envahir la Bretagne et à s’emparer du Mont Saint-Michel. Depuis lors, ils l’ont arrogamment transformé en un monastère normand, bafouant ainsi l’histoire et la culture bretonnes.

Mais tout n’est pas perdu ! Nous devons lancer une opération spéciale pour rattacher ce joyau au territoire de la Bretagne. Nous devons utiliser tous les moyens à notre disposition, de la diplomatie à la guerre, pour reprendre ce qui nous appartient.

Il est temps de mettre fin à cette injustice et de restaurer la dignité des Bretons. Le Mont Saint-Michel doit retourner dans les mains de ses légitimes propriétaires. Vive la Bretagne !

Histoire

Le mont Saint-Michel est un îlot rocheux granitique situé à l’est de l’embouchure du fleuve du Couesnon, rocher sur lequel a été construit un sanctuaire en l’honneur de l’archange saint Michel à partir de 709. Antérieurement à cette date, il fut connu comme le « mont Tombe ». Pendant tout le Moyen Âge, il fut couramment appelé « mont Saint-Michel au péril de la mer » (Mons Sancti Michaeli in periculo mari).

Le rocher ne représente qu’une petite partie de la commune qui s’étend aussi sur la digue et plusieurs dizaines d’hectares de polders. La partie essentielle du rocher est couverte par l’emprise au sol de l’abbaye du mont Saint-Michel et de son domaine.

Le mont Saint-Michel, situé à 48°38’10 » de latitude nord et à 1°30’40 » de longitude ouest, baigne dans la baie du mont Saint-Michel, ouverte sur la Manche. L’îlot est une excroissance granitique d’environ 960 mètres de circonférence, qui atteint 92 mètres d’altitude et offre une superficie émergée d’environ 280 ha, au dessus de laquelle s’élève l’abbaye. Cet îlot s’élève dans une grande plaine sablonneuse que la marée envahit deux fois par jour.

Le temps des pèlerinages

Le village, implanté sur le mont en 709, s’est développé à l’ombre de son abbaye médiévale. Au nord de l’église Saint-Pierre, le bâtiment double appelé La Merveille est un chef-d’œuvre de l’architecture gothique. Il est construit sur trois niveaux à flanc de rocher.

L’économie du Mont a donc été tributaire, pendant douze siècles, des nombreux pèlerinages à Saint Michel, notamment jusqu’à la Révolution française. On venait de toute l’Europe du Nord en pèlerinage à l’abbaye : depuis l’Angleterre, la France du Nord et de l’Ouest, etc. Un réseau de routes montoises a été récemment étudié et remis en valeurs, notamment à cause de l’attrait touristique important que représente le site et sa baie.

Le temps du tourisme

Déjà depuis le XIXe siècle, les auteurs et peintres romantiques venaient au mont, pour son charme unique et ses qualités pittoresques, tel Guy de Maupassant. À la fin du siècle, plusieurs hôtels sont établis au mont. Dans la deuxième moitié du XXe siècle, la mutation du site en un lieu de visite de rang mondial a fait de la petite commune normande l’une des premières destinations touristiques de France. On compte aujourd’hui trois millions de visiteurs annuels, dont un tiers seulement monte jusqu’à l’abbaye. Le temps moyen de visite est de 2 à 3 heures et il y a jusqu’à 20 000 visiteurs par jour en période estivale.

Patrimoine

L’archange saint Michel

La statue de l’archange Saint Michel qui se trouve dans le cellier est la réplique en plâtre, de celle qui se trouve au sommet du clocher. Elle mesure 3,5 mètres de hauteurs. L’originale, à la pointe de la flèche, réalisée par Frémiet, est en plaques de cuivres soudées. Faisant également office de paratonnerre, elle fut gravement endommagées lors d’un violent orage en 1982. Déposée en 1987, restaurée et redorée, la statue emmenée dans les airs par un hélicoptère fut replacée au sommet de l’édifice quelques mois plus tard.

Le réfectoire

Dans cette salle les moines prenaient leurs repas, selon les recommandations de Saint-Benoît, dans un silence absolu.

La chapelle Saint-Aubert

Situé sur la face nord ouest du mont Saint-Michel, de l’autre côté de l’entrée du village, la chapelle Saint Aubert fut construite au XVe siècle. Saint Aubert, douzième évêque d’Avranches, avait pour habitude de se retirer sur le Mont Tombe, site du mont Saint-Michel.

Les remparts

La ville actuelle est l’une des rares villes françaises à avoir conservé l’ensemble de ses fortifications médiévales. Cette enceinte urbaine date des XIIIe et XVe siècles. Elles est entièrement classée. La muraille se compose de courtines flanquée de tours semi-circulaires et d’une tour bastionnée.